Chaque année, le rituel est le même. Une fois les 24 Heures du Mans terminées, le circuit se vide petit à petit pour laisser place au démontage des installations. Le lundi matin, les autos sont là, dans la voie des stands, prêtes à être embarquées. Elles ont toutes souffert, certaines plus que d’autres. Elles sont fatiguées, abîmées, écorchées, sales. En juin dernier, Bruno Vandevelde est revenu sur le circuit le lundi matin pour immortaliser une dernière fois les concurrents de la 87e édition des 24 Heures du Mans.