– La tradition de voir des véhicules historiques à Daytona est bien ancrée. On vous en reparlera sur Endurance-Classic mais une belle collection d’autos ayant roulé en IMSA dans le passé est exposée entre les deux paddocks. Entre DP, Porsche GT et Group C, il y en a pour tous les goûts.
– Ebimotors retrouve les 24 Heures de Daytona avec sa Lamborghini Huracan GT3 équipée du kit Evo. On devrait revoir le team italien aux Etats-Unis lors du prochain rendez-vous à Sebring. L’European Le Mans Series et les 24 Heures du Mans devraient également être au menu de l’écurie dirigée par Enrico Borghi, à nouveau avec la Porsche 911 RSR.
– Les constructeurs sont bien présents à quelques mètres du paddock. On y trouve Mercedes, Audi, Cadillac, Hyundai, Porsche, Mazda, Lamborghini, BMW, Acura, Ford, Chevrolet, Lexus et Michelin. De nombreuses activités sont proposées aux fans : réalité virtuelle, simulateur de pilotage, etc.. Les fans repartent avec des goodies et des tee-shirts.
– Mazda expose une RT24-P sur sa structure. Une personne est chargée d’expliquer aux fans le fonctionnement de la DPi. A la fin de la discussion, des questions sont posées et ceux qui donnent les bonnes réponses repartent avec une enceinte bluetooth.
– Il a fallu bien du courage aux runners ce matin pour disputer les 5 km autour du circuit compte tenu du vent glacial.
– Plus de 20 pilotes vont enchaîner Daytona/Bathurst : Mies, Haase, Winkelhock, Jarvis, Nielsen, Campbell, Vervsich, van der Linde, Dalla Lana, Lauda, Lamy, Mostert, Farfus, Vautier, Werner, Dumas, Stolz, Buhk, Pappas, Bleekemolen, Müller, Jaminet. A noter que l’équipage Dalla Lana/Lauda/Lamy sera reconstitué en Australie, toujours chez Spirit of Race.
– Team Penske fête cette année le 50e anniversaire de sa première victoire aux 24 Heures de Daytona. En 1969, Chuck Parsons et Mark Donohue imposaient la Lola T70 à moteur Chevrolet alignée sous la bannière Roger Penske Sunoco Racing.
– Vincent Vosse retrouve les 24 Heures de Daytona cette année, toujours avec le même plaisir. “J’aime l’ambiance des courses américaines”, nous a déclaré l’emblématique patron de WRT. “J’ai disputé les 24 Heures de Daytona à trois reprises, deux fois sur une Porsche et une fois sur une Chrysler Viper. A cette époque, certaines autos étaient très rudimentaires. J’ai en mémoire une voiture au look NASCAR qui roulait la nuit avec des feux minuscules. Tout le monde se demandait comment faisaient les pilotes pour voir.”
– L’engagement de l’Audi R8 LMS GT3 Evo/WRT Speedstar Audi Sport est entièrement géré par l’écurie belge. Du personnel de Speedstar est impliqué dans le suivi technique de l’Audi. Le châssis utilisé (#101) est celui qui a remporté les 12 Heures de Bathurst 2018. Pour ce qui est du programme européen, les discussions avancent dans le bon sens même si le nombre d’Audi qui évolueront en Blancpain GT Series n’est pas arrêté.
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