– Les Ferrari 488 GT3 arborent un ruban noir en mémoire de Sergio Marchionne, décédé il y a quelques jours. L’emblématique patron de Fiat-Chrysler et Ferrari est mort des suites de complications après une opération à l’épaule.
– Le logo sur les pneus Pirelli qui rappelle le 70e anniversaire des Total 24 Heures de Spa était en place uniquement pour la Superpole.
– Chose tout de même assez rare en sport automobile, le public a eu accès à l’intégralité de la piste à l’issue de la Superpole, et ce sans débourser le moindre euro. La voie des stands était également ouverte à 100%. Les fans ont pu déambuler à loisir jusqu’à la tombée de la nuit avec la possibilité de discuter avec les pilotes sans la moindre barrière. Des véhicules historiques ayant participé à l’épreuve étaient exposés sur la piste au niveau des stands Endurance, les voitures de l’organisation installées dans le Raidillon. Le public a pu encourager les mécaniciens du AKKA-ASP Team en pleine reconstruction de la Mercedes-AMG GT3 #88. On a même pu poser notre derrière dans le Peugeot 806. On ne compte plus les personnes qui ont embrassé la piste dans le Raidillon. Une idée de génie qui ne coûte pas un euro !
– Pour celles et ceux qui seront à Spa pour la course, n’oubliez pas d’aller rendre une visite au stand Endurance-Info dans la partie Endurance du paddock. Vous aurez une vue sur la voie des stands et sur le Raidillon.
– Maxime Soulet est en quelque sorte le local de l’étape à Spa. Le pilote de la Bentley Continental GT3 #8 espère bien briller sur ses terres, comme il nous l’a confié : “Spa est une course particulière pour moi. J’ai raté une seule édition depuis 2007. Cette année, le plateau est encore en hausse niveau qualité. Chaque tour sera un tour qualif. Les 24 Heures de Spa m’ont toujours plu. Il y a l’ambiance, le public, la parade. Pour les pilotes belges, c’est la course de l’année. En France, il y a Le Mans mais on savait avant le départ qui allait gagner. Ici, c’est autre chose car les prétendants à la victoire sont supérieurs à 20.”
– Sauf disposition contraire, les pilotes devront allumer les feux de 22h à 6h du matin.
– Les médias ont pu assister à un briefing donné par Thierry Tassin et Pierre Dieudonné ce matin dans le camion WRT. Les deux fins stratèges du team belge ont expliqué les spécificités de la course belge. Même si on y assiste chaque année, on apprend un tas de choses bien intéressantes. Le staff WRT passe de 20 à 80 personnes pour le double tour d’horloge spadois. “C’est un peu comme si un jazz band passait à un orchestre philharmonique”, a expliqué Pierre Dieudonné.
– Les pilotes peuvent être adversaires sur la piste et passer du bon temps ensemble au milieu des fans. La buvette de l’Arbre qui Tue était ce soir le lieu de rendez-vous improvisé des fans, des pilotes, de l’organisation, des journalistes, tous en mode détente autour d’un verre de l’amitié.