Nom : François Perrodo
Equipe : TDS Racing
Nombre de participations : 5
Regardiez-vous les 24 Heures du Mans à la télé quand vous étiez jeune ? Etiez-vous intéressé ?
“Je n’étais pas intéressé quand j’étais gamin car ma passion était le rugby. J’ai grandi avec ce sport. Je suis devenu dingue d’automobile quand j’ai eu mon permis de conduire. A aucun moment je n’avais imaginé que le sport auto était accessible à un amateur comme moi. J’ai découvert les 24 Heures du Mans en 2012 grâce à Raymond Narac où j’étais venu en spectateur. Je débutais en sport auto et j’étais à 1000 lieues de penser qu’un an plus tard je serais au départ.”
Quels sont vos premiers souvenirs des 24 Heures du Mans ?
“Mes premières 24 Heures du Mans en 2013 au sein d’un équipage qui me tenait à coeur avec Manu Collard et Seb Crubilé. Manu est un grand Monsieur et Seb un très bon Bronze. C’est là que j’ai pris conscience de cet évènement qui a tout de même été entaché par le décès d’Allan Simonsen.”
Avec quels pilotes auriez-vous aimer disputer les 24 Heures du Mans ?
“Ce serait un équipage plaisir. Pourquoi pas Manu Collard et Henri Pescarolo. Manu, c’est un pote et c’est lui qui m’a tout appris. Henri est comme qui dirait le père spirituel de Manu. Avec eux, il y a de quoi décrocher un bon résultat. Le problème est que ce serait moi le plus lent (rires).”
Quelle est la voiture qui vous auriez aimé piloter aux 24 Heures du Mans ?
“Elles sont nombreuses. Il y a la McLaren F1 GTR qui a une histoire mythique. Cette auto n’était pas destinée à la compétition. Une poignée d’ingénieurs a décidé d’en faire une auto pour la course et bien leur en a pris. La Porsche 911 GT1 qui a un look de folie et qui n’est absolument pas démodée même 20 ans après. pour terminer, piloter les dernières LMP1 hybrides, ça doit être quelque chose.”
Quel pilote des 24 Heures du Mans vous a fait rêver ?
“J’ai beaucoup d’admiration pour Romain Dumas qui représente mieux que quiconque le multi-tâche. Il est partout et brille partout. C’est un peu comme Jacky Ickx qui a brillé dans beaucoup de disciplines. Je vais même en donner un troisième avec Henri Pescarolo qui a une aura au Mans qui va bien au-delà d’un pilote.”