Fidèle parmi les fidèles à Henri Pescarolo, Claude Galopin avait le rôle d’ingénieur en chef aux 24 Heures du Mans 2005, l’année de la deuxième place de Manu Collard, Jean-Christophe Boullion et Erik Comas à deux tours de l’Audi ‘américaine’ victorieuse. Claude Galopin était un acteur majeur du programme Pescarolo-Judd Evo ‘hybride’.
Les pilotes qualifient souvent les 24H du Mans comme la course la plus difficile au monde. Est-ce la même chose pour les ingénieurs ?
« Pour les ingénieurs, Le Mans est incontestablement la course la plus difficile du monde. Cette épreuve est aux autres rendez-vous du calendrier ce que l’Everest est à l’alpinisme. Il n’y a pas de circuit plus long alternant hautes et basses vitesses, le niveau de performance est extrêmement élevé. C’est unique. »
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