Comme plusieurs autres pilotes européens, Côme Ledogar découvre Suzuka et le Japon. Le Lyonnais retrouve le baquet de sa McLaren 650S GT3/Garage 59 en compagnie de Ben Barnicoat et Andrew Watson. L’ancien pilote McLaren GT s’est vite fait une idée positive du circuit de Suzuka. A court terme, on pourrait bien le voir dans une autre discipline en complément d’un programme GT.
Comment trouvez-vous le circuit et le pays ?
“Je pense que c’est l’un des plus beaux circuits. Le tracé est à l’ancienne, étroit, rapide et dangereux. Quasiment tous les virages du circuit ont un intérêt. Suzuka me rappelle un peu Imola. Quant au pays, tout est propre, les gens sont très bien élevés, gentils, souriants. Cela met de bonne humeur quand dès le matin on croise uniquement des gens qui ont le sourire. Je suis content d’être ici car j’ai toujours voulu voir le Japon. Je prends beaucoup de plaisir à être là.”
Comment se passe le début du meeting ?
“Il fait très chaud, ce qui fait qu’on perd en performance. J’espère que nous serons dans le match. On retrouve pas mal d’équipes Blancpain GT Series et les pilotes japonais sont très bons sur leurs terres. La McLaren et très bien équilibrée, les trois pilotes sont bien calés. On continue d’apprendre la piste.”
Ce n’est plus un secret que vous cherchez à diversifier vos activités avec du rallye…
“J’espère trouver une solution pour rouler sur une auto “R5″. J’ai toujours été passionné par le pilotage, plus que par tout le reste en sport auto. Le rallye, c’est le pilotage à l’état pur. Il n’y a pas d’excuse. J’ai disputé un rallye en VH il y a 5 ans et j’en garde un très bon souvenir. Faire du rallye à plein temps ne serait pas pour me déplaire.”
Vous avez votre casque “Johnny Hallyday” à Suzuka ?
“Non, c’était juste pour les 24 Heures du Mans. J’ai toujours été fan du chanteur. Johnny Hallyday a traversé toutes les générations. C’est le premier casque après son décès. L’idée est d’avoir un rappel sur mes prochains casques. J’ai toujours été plus rock qu’électro, mais pas seulement. J’aime autant AC/DC que Michel Berger, France Gall ou Daniel Balavoine.”