Communiqué de Presse : Les deux LMP2 IDEC SPORT ont parcouru plus de 1800 kilomètres lors des quatre jours d’essais de pré-saison avec des performances très encourageantes avant le début de saison.
« Si la saison pouvait se passer aussi bien que ces essais, ça serait génial ! » C’est avec ces mots que Frédéric Ducastel, team principal d’IDEC SPORT, résumait les quatre journées d’essais privés réalisées à Barcelone et au Castellet. « Le temps était idéal et nous n’avons pas connu de problème majeur. Tout s’est bien déroulé. C’est rare mais en dehors de quelques détails, qui sont maintenant résolus, ces essais se sont vraiment bien passés. Les voitures n’ont pas eu de soucis et les pilotes ont roulé intelligemment, sans commettre d’erreur. »
Les trois pilotes de chaque équipage se sont relayés sur les quatre jours de tests et chaque voiture a engrangé plus de 1800 kilomètres tout en se montrant fiable. « Nous avons pu rouler comme on l’entendait, même avec le déverminage de la Ligier, effectué à Barcelone. Les pilotes connaissaient ce circuit mais n’y avaient pas roulé en LMP2. Ils ont vite retrouvé leurs marques dans la voiture, ce qui nous a permis de passer en revue plusieurs réglages, » explique Frédéric Ducastel, également satisfait par le roulage au Castellet: « Nous étions seuls dans notre session! D’habitude, on peut rouler avec d’autres LMP2, des LMP3 voire des GT3, mais là nous étions seuls. Nous avons pu rouler à bloc, avec une configuration course. On a exploité la voiture au maximum. Ça met à mal la mécanique et ça met à mal les pneus. On peut donc aller loin dans nos tests et bien se préparer pour la saison. »
Les trois pilotes de chaque équipage se sont relayés sur les quatre jours de tests et chaque voiture a engrangé plus de 1800 kilomètres tout en se montrant fiable. « Nous avons pu rouler comme on l’entendait, même avec le déverminage de la Ligier, effectué à Barcelone. Les pilotes connaissaient ce circuit mais n’y avaient pas roulé en LMP2. Ils ont vite retrouvé leurs marques dans la voiture, ce qui nous a permis de passer en revue plusieurs réglages, » explique Frédéric Ducastel, également satisfait par le roulage au Castellet: « Nous étions seuls dans notre session! D’habitude, on peut rouler avec d’autres LMP2, des LMP3 voire des GT3, mais là nous étions seuls. Nous avons pu rouler à bloc, avec une configuration course. On a exploité la voiture au maximum. Ça met à mal la mécanique et ça met à mal les pneus. On peut donc aller loin dans nos tests et bien se préparer pour la saison. »
Après son roulage en GT3 il y a quelques semaines, Paul Lafargue a pris le volant chaque jour et a pu se remettre en jambe avec l’Oreca. Son coéquipier Memo Rojas a également pris part à toutes les journées d’essais, tout comme le rookie, Stéphane Adler, qui a effectué ses premiers tours de roues au volant d’une LMP2. « Stéphane Adler a bien roulé. L’objectif était de prendre ses marques. Il a commencé sur un rythme tranquille et y est allé crescendo. » Si Patrice Lafargue, Erik Maris et Paul-Loup Chatin n’ont pu prendre part à tous les tests, chaque kilomètre a été parcouru avec le plus grand sérieux. Tous les pilotes ont pu se préparer pour la saison et se réhabituer aux hautes performances des prototypes LMP2.
Des essais de bonne augure
Des essais de bonne augure
Faire 1800 kilomètres sur circuit, ce n’est pas anodin. Les machines et leurs différentes pièces sont grandement éprouvées, comme les pneumatiques par exemple. « On a testé différents types de gommes de la gamme Michelin, toujours très performantes. Sur les quatre jours on a passé plus de 20 trains de pneus. Ça nous a permis de nous entraîner aux pit-stops, même si une partie de l’équipe était à Sebring (pour le WEC). On se testera vraiment en configuration course lors du prologue, » explique Fred Ducastel avant de conclure: « Le plus important, c’est que les voitures se sont montrées fiables. Mais si on peut retenir un autre point, c’est que la Ligier s’est montrée compétitive par rapport à l’Oreca. »
Le prologue 2019 de l’European Le Mans Series aura lieu au Paul-Ricard les 8 et 9 avril. Plus de 17 heures de roulage sont prévues, réparties en cinq sessions allant de 120 à 240 minutes.