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Mouss'

Toutes mes réponses sur les forums

15 sujets de 421 à 435 (sur un total de 450)
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  • en réponse à : WEC 2019-2020 #279182
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    Brouarff les nouvelles :cry:

    Je plussoie à l’idée de TG-TO : j’ai également un “proto” Peugeot qui pourrait faire l’affaire en cas de grille incomplète…
    Et je maîtrise le talon-pointe :yes: :yes:
    Une bonne équipe de mécanos exigée par contre :whistle:

    en réponse à : Vos 24 heures du Mans 2019 #279133
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    @Cousin Hub, l’édition du Caouett Prize “spécial Le Mans” étant achevée avec brio chez les voisins d’en face, Tintin et son orteil cassé attendons avec impatience ton récit “et pic” de ce cru 2019 ;-)

    en réponse à : François PERRODO #279027
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    Great B-)

    en réponse à : Les 24 Heures vues par… #277395
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    Ah oui mais là c’est pas d’un duvet dont il est question… mais d’un Saint Suaire non ?!?

    en réponse à : Vos 24 heures du Mans 2019 #276640
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    Tout est vrai ! C’est juste que je compte large B-)
    Hormis les quelques fautes de syntaxe et d’orthographe, un dernier point également dans la série “rencontres” que j’ai omis hier. Lors du retour du Bleu Nord vers Beauséjour le vendredi après-midi : l’amicale tournée de bière de Papa Suisse et du fiston. J’espère que Georges a ensuite bien tracé sa “linéa” sur la piste du karting, façon Osvaldo Cavandoli ;-) mais que par respect pour “l’ancien” il ne lui a quand même pas mis une dérouillée ; Papicran paraissait… disons un peu diminué au moment de se saluer :-)

    en réponse à : Vos 24 heures du Mans 2019 #276606
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    Petite digression avant d’entamer la dissertation.

    RencontreS du 3ème type… Vous vous souvenez de ce film sorti en 1978. De ces personnes obsédées par cette vision de montagne qui les hante, qui les pousse à la reproduire ou la reconstituer désespérément. Au point d’entamer une longue route pour gagner cet endroit… quelque part… Le Mans… Qu’est-ce qui poussent autant de personnes à parcourir quelques poignées de kilomètres, des dizaines ou des centaines, voire 3000 km aller/retour pour y être quelques jours à la mi-juin ? Je n’en ai pas la réponse. Seulement pour moi. Et ce depuis plusieurs années. Depuis avoir senti physiquement vibrer mes tripes et ne pas croire possible d’entendre des bruits pareils. Depuis avoir humé des odeurs de toute nature quelle soit, essence, gaz d’échappement, huile brûlée, freinage, pneu brûlé, saucisses, huiles grasses de friteuse, fumée de barbecue, pétards, cigarettes, alcools… C’était hier finalement. Les années où je n’ai pu faire le déplacement ont été de véritables crève-cœurs. S’y rendre est de plus en plus devenu une véritable nécessité. Oui, une nécessité. Et j’ai beaucoup de chances d’avoir vécu 2019. La boite à souvenirs a encore été étoffée cette année avec d’autres regards, d’autres sensations, du rappel de souvenirs d’endroits parcourus avec d’autres aujourd’hui disparus. De ces quelques mètres carrés qui vous font basculer des années en arrière. En un clin d’œil. Et également de nouvelles rencontres, totalement au hasard ou plutôt bien planifiées. Inutile de s’efforcer mutuellement à en percer le mystère ou à en convaincre d’autres. Une évidence s’impose : une force invisible tente d’établir un contact avec certains Terriens. Ca c’est le film. Et pas que…

    Mes 24h le Mans 2019 démarrait pourtant mal en tous cas. Le planning était parfaitement calé. La liste du « matos » parfaitement rodée. Mais « la voiture officielle » montrait depuis ce début d’année les signes de l’âge. Voyant défaut moteur allumé, sans aucune incidence toutefois. Laissé en l’état donc. Batterie récente ne tenant plus la charge malgré un alternateur bien efficace. Fuite de liquide de refroidissement. Amortisseurs de 345 000 km, autant dire rien. Et cette maladie frappant les automobiles de la firme du Lion se traduisant par une marche du cul en canard. Plus particulièrement côté droit conduisant le pneu à s’user sur le flanc intérieur… par frottement sur le châssis. Plusieurs semaines de test divers, principalement axés sur l’appréciation de la durée que prend le bocal de LDR à se vider… Façon baignoire qui se vide en attendant de croiser le train qui lui se déplace à une vitesse… Pour au final… retenir la solution la plus simple : prendre le « mulet » ? Non… pas encore pour cette année. « Il » n’est pas encore prêt pour l’évènement. Et pour « le 2 litres », le coup serait trop dur à supporter. Il ne s’en remettrait pas. XD. Décision est alors prise. Poser un jour de congé en plus (merci Patron !). Et puis, à quoi bon de toute façon travailler plus… pour travailler plus ? La voiture tiendra… ou pas. Rien ne va plus. Fête le jeu ! Avec quand même le numéro de téléphone de la compagnie d’assurance bien en poche, départ est donné le mardi matin, contrairement donc aux usages du départ du mercredi fin d’après-midi après la journée de boulot passée dans l’attente obsédante du départ et qui m’emmenait jusque-là à capter 91.5 FM à quelques kilomètres du Mans avant la fin de la séance de nuit et vivre les dernières minutes aux Virages Porsche. Si panne, cela me laissera le temps de me retourner. Façon littérale.

    #Mardi
    Réservoir carburant réglé depuis plusieurs jours pour assurer juste le run aller (quelques kilos épargnés), le nombre de bouteilles de bières calculé au plus juste (encore quelques kilos épargnés) et autres subtilités en la matière (jusqu’au bidon de shampoing à moitié vide et mis de côté plusieurs semaines auparavant pour gagner quelques grammes !), la voiture est également chargée façon 2 ris dans la grand voile, babord amure, et surtout avec tout le bardas le plus lourd côté gauche pour accentuer à mort l’assiette du « 2 litres » sur la gauche afin de limiter au maximum les bruits angoissants du frottement de la roue AR droite sur le châssis. « Nous » voilà donc engagés pour environ 500 km vers la montagne obsédante. La centaine de km sur des Départementales qui nous sépare de l’autoroute est un véritable calvaire mental. Le SIF (sillon inter fessier) est sollicité à plusieurs occasions. Belles angoisses. Le doute s’installe. Connerie monuMANStale en perspective ? Et ses satanés ronds-points qui font basculer l’auto sur la droite malgré tous les ouvrages traversés sur le rapport 2, à faible allure. La moyenne horaire a rarement été aussi basse. Enfin l’autoroute, et le 5eme rapport engagé ! Le bonheur ! Les poids-lourds nous doublent… Qu’importe. Yapuka à attendre… d’arriver… ou d’entendre éclater le pneu… ou de percevoir une traînée de fumée blanche dans les rétros… Silence radio. Que les bruits usuels du roulage habituel… Plus que 400 km… Et ces montagnes des Alpes à passer entre Abbeville et Rouen… Un cauchemar. La température ne monte pas. A chaque variation de l’aiguille, je frémis. Rouen et sa rocade industrielle enfin avalée. La bretelle et son virage en dévers sur les hauteurs d’Oissel passé à petite vitesse, s’amorce ensuite la longue montée sur l’A139, avec son trou à droite sur le pont à éviter absolument. Et puis l’A28. Barrière de péage passée. C’est plein Sud direction Le Mans ! Après un temps certain, l’échangeur de Saint Saturnin qui nous fait mettre la tête à l’envers. Victoire ! Mon char défile fièrement sur le Boulevard Patton et attaque la patte d’oie d’Allonnes. Le radar de feu parfaitement esquivé sur le boulevard de la zone industrielle ne nous détourne pas d’un des derniers freinages à assurer au niveau du centre commercial. L’approche est bonne. Tout tient bon. Passage de la voie ferrée d’Arnage. Le pont des Virages Porche. L’entrée à Beauséjour est triomphante ! Je touche la terre promise. Inutile de me placer, « c’est là » que je veux être. Au milieu de la plaine, comme d’hab’, totalement déserte en ce mardi après-midi ! Après un calcul approximatif des bandes de 5m et 7m qui nous séparent des chemins carrossables périphériques, le piquet de la victoire est planté sur le haut de la montagne. Et de savourer la première gorgée de bière au Mans, et les suivantes, selon le tableau de marche établi de longue date. Cette fin d’après-midi se passe donc doucement à monter la tente, tendre la bâche de protection et dérouler la moquette noire entre la voiture et la tente ; façon Grand Emir arabe ! Le luxe. Savourer, pieds nus, l’herbe tondu raz et l’herbe ramassée (moins de risque de début d’incendie). Apprécier la qualité et le nombre des douches. Profiter de l’eau chaude ! D’ailleurs, elle ne viendra à manquer que le vendredi matin. Un exploit ! Merci l’ACO ! Arpenter la plaine de Beauséjour, quasi déserte, repérer le nouvel accès aux Virages Porsche, avec un long détour à la clé, après avoir pesté contre ce portail fermé qui interdit l’accès piéton, que dis-je, juste la traversée du chemin privé enclavé dans le campement. Et se coucher avec la satisfaction de la tâche accomplie. Après avoir débranché la batterie du « 2 litres » pour en préserver la charge.

    #Mercredi
    Alors qu’habituellement je ronge mon frein au boulot, ce jour c’est du bonus. Après une matinée façon farniente et quelques minutes à faire tourner le « 2 litres » pour maintenir la charge et embaumer l’air ambiant de monoxyde, passage au village, profiter longuement des attractions présentées chez Toyota, monter dans le cockpit de la TS050, ne pas être foutu de faire mieux que 15 secondes en binôme pour le changement d’UN pneu après trois tentatives, quel nul ! tenter de se faufiler sur la voie des stands après avoir déjà truandé l’accès au backstage des stands, hihihihi. S’abriter sous les passerelles en attendant que cesse la pluie. Et voir le monde passer. Echanger à l’occasion avec un inconnu sur les 6h de Spa 2019. Sur le chemin du parking, une belle photo de la Mercedes #40 du Road to Le Mans. Quelle caisse ! Tenter de trouver un point de vue plus prêt de la sortie des Virages Porsche côté karting à travers le parking des commissaires. Pas concluant. Se rappeler du lieu de passage dans les anciens box du karting pour monter sur la terrasse éponyme. Et assister dans ce secteur aux premiers essais. La piste de jour (jamais vue auparavant) paraît beaucoup plus étroite que de nuit. Vision étrange. Ca passe sacrément vite avec un beau 360°. Et finir sur la butte du Porsche intérieur. Immanquable pour rien au monde. Un vrai délice ce spot. Côté Sud et côté Nord. Une douce journée sur la montagne vient de s’achever. Avec le son des autos, des échappements et des disques au rouge. La radio est d’ailleurs restée sur off aujourd’hui, comme le « 2 litres » également. Nounours, tu ne me diras qu’une seule fois « bonne nuit » ce soir.

    #jeudi
    Matinée totale relâche. Repos du guerrier. Le montage du « turbo-vélo » est terminée. Place au temps de la contemplation. Savourer l’arrivée de mon voisin tchèque Yoann, deux ans après notre première rencontre. Le camp reste bien vide néanmoins en ce début d’après-midi. Beauséjour se remplit tardivement dans le secteur. Signe d’une moindre fréquentation ? Au final, les Danois, les Allemands et les Anglais seront bien là. J’ai d’ailleurs un beau garage juste sous mes yeux en cette fin d’après-midi. Enjoy ! Et c’est le départ vers le virage d’Arnage & Indianapolis pour la séance du soir. Musette chargée et mollets prêts, le « turbo-vélo » m’emmène à bon port. Le vent ne m’a pas fait trop de misère. Quel spot. Juste le regret éternel du chêne majestueux sacrifié. Non loin de là, quelques mètres carrés de la butte retiennent encore mon attention cette année et me ramènent quelques années en arrière, avec un petit sourire nostalgique. RIP. Cette année, je n’ai pas eu la chance d’avoir eu un « tour clair » d’une 911 de la sortie du virage d’Arnage avec la montée des rapports jusqu’aux virages Porsche. Il y a toujours eu un bruit de fond qui a pollué l’atmosphère. Dommage. Et puis cette Rebellion qui nous fait mal à nouveau. Le duel attendu avec les Russes démarre mal depuis la veille. Le retour de nuit me fait perdre 90 cm et me ramène à l’âge de mes six ans sur sa monture ! Sale gosse. Et j’ai pas honte. Je dévale ma montagne à fond la caisse vers Beauséjour. Laisser passer !

    #vendredi
    Il s’agit d’être fin propre pour ce midi. Quel luxe de se raser sur son pré carré. Echange de programmation avec mon voisin et c’est parti pour belle après-midi. Toujours une joie de se retrouver. On parle chiffons et dernières nouveautés capillaires… Retour au camp de base pour gravir la montagne du vendredi soir à Beauséjour ! L’occasion également de constater que mon anglais est toujours aussi balbutiant. Mais je suis aidé temporairement par une aide extérieure venue en renfort et qui a plus fière allure sur sa monture. XD. Et on se comprend. Echange d’amabilité. Goutte moi ça… fume moi mes gauloises brunes, je m’adoucis la gorge avec ta version de l’Europe de l’Est. Echange de bons plans et sur le trajet qui me ramène à mon chez moi je négocie mal, pieds nus toujours sur l’herbe de mon pré, le contournement de ce qui se trouve au sol. Un de mes orteils droits subit un choc frontal avec une roue de vélo que je pense être anodin sur le moment. La dégustation du barbecue à la frontale, vue l’heure avancée, se déroule néanmoins sans encombre. La viande est restée fraîche malgré 24h de plus à endurer la chaleur qu’habituellement. J’aurais dû finalement tenter le coup pour le fromage du vendredi midi. Désolé les gars. Pour l’an prochain promis ! Une lanterne lancée dans les cieux et la nuit est bercée du chant et des couleurs des feux d’artifice et de musique techno allemande… Oui ça… ça fait mal !

    #samedi
    Logiquement c’est à la tête que ça cogne à cette période de la mi-juin. Cette année, j’innove. L’orteil de la veille est finalement passé en mode « art car Rebellion » couplé à ce qui s’apparente à une belle casse moteur… Punaise je douille. Impossible de dérouler le pied complet. Mais c’est pas un bout minuscule du reste de la masse qui va me faire fléchir, même si ces quelques cm² supportent temporairement tout le reste. Le trajet jusqu’au gradin face au stand Toyota sera plus long, c’est tout. Et quelque peu douloureux. Mais le choix des chaussures les plus serrées s’est avéré bon. Une fois sur place, je profite du spectacle. L’hélicoptère… Waouh encore ! Echanges avec mes voisins sarthois dont l’un fête sa 50ème édition. Pas le seul également au vu des Tshirts arborés par quelques uns non loin de là. Au passage de la Ford de 1969, on remonte le temps. Le gars a vu cette bagnole passée devant lui en course… On croise les éditions suivantes. Et moi de lui apprendre quelques trucs sur les caisses d’aujourd’hui. Et parler du cas de l’Alpine actuelle… Quelle déception… D’ailleurs le gars semble impénétrable au P2. XD. N’empêche…. Il est là pour la 50ième fois d’affilée ! Echanges d’amabilité et chacun part ensuite de son côté de la montagne. Mon chemin me conduit par étapes successives jusqu’au bout du circuit au Nord. Quelques mètres carrés de la butte en terre du Dunlop me ramène une nouvelle fois loin derrière. Je suis là, il y a trente ans environ, avec mon Kway sur le dos, ma casquette Porsche Rothmans vissée sur la tête et un sourire aux lèvres qui va de là… à là… Encore merci pour ça les parents ! Mon orteil me fait quelques signes de temps à autres. Puis un pic plus aigu et enfin plus rien… Visiblement c’était juste démis ! Et c’est enfin l’arrivée sur ma montagne de sable des Esses de la Forêt… Oui de la forêt. Je me cale les genoux sur ce qui reste de l’un de ces pins splendides pour me démettre le cou durant de très très longues minutes avec le regard porté de la passerelle Dunlop jusqu’au vibreur du Tertre Rouge. Le vent est froid en ce samedi soir. La bière ne suffit pas à se réchauffer. C’est le temps d’une bonne frite chaude. Et ô scandale, plus de frites au stand situé au dessus. Quelle blague. Départ prématuré. On reviendra plus tard. Direction le stand situé en face côté intérieur. Retour sur le Tertre intérieur avec ma frite en main. « Mulsanne Straight » d’abord avant de se poser devant l’écran géant. Les autos paraissent passer plus vite cette année dans ce coin. Mais le froid limite la durée d’exposition et a raison de moi. Retour en sens inverse. Cette année pas de passage côté barbelé et de franchissement de passerelle Dunlop. On rentre tranquille encore pas étapes par le chemin de l’aller. A nouveau ma montagne de sable des Esses. Le concert des Ferdinands est terminé. Ca sent désormais l’électro sur le plateau. Les beaux freinages de la montée de la chicane Dunlop et la franche accélération derrière. Les lumières magiques de la nuit et le son que l’on ressent plus fort dans la ligne des stands. Et enfin le karting avec le crash juste quelques minutes plus tôt, encore cette année et à quelques mètres près, de la SMP. Le Russe aura tenu quelques heures de plus sur 2019 avant de ruiner la course de son co-équipier français. Tristesse. L’auto parait étrangement encore intacte lors de son retrait par le Manitou. Encore de longues minutes sur la terrasse du karting. Et on rentre direct se coucher. Je suis mort de froid. Pas de Porsche ce samedi soir, j’ai déjà eu ma dose jeudi soir. Nounours, pour ta voix mélodieuse, tu es supplanté en ce milieu de la nuit par plus meilleurs que toi…

    #dimanche
    Route du chat après quelques heures de sommeil. Je kiffe encore ce matin regonfler mon matelas depuis quatre jours, au moment du lever et du coucher ; visiblement y’a aussi une fuite ici… Direction la butte avant l’entrée des stands. Bon visiblement je ne suis plus trop frais. L’entrée habituelle n’est plus celle que je connais. Partie privatisée ? Pas d’accès clairement identifié. Abandon. Direction la ligne d’arrivée. Jusqu’au finish. Et d’échanger avec David après l’avoir vu gesticuler bizarrement à chaque arrêt de la Toy7. En fait David est le papa du préposé qui relâche l’auto. Ca sent bon pour lui. Et moi aussi d’ailleurs. Kobayashi laisse le bacquet. Et l’embarquement de Lopez me parait étrange pour la fin de la course. Je pense que c’est juste pour un run et que le pilote japonais va remonter. A mon sens, c’est lui qui doit finir. Echange de SMS entre les deux côtés de la ligne droite des stands. Ca gamberge dans tous les coins. Aucune info à ce sujet. Et c’est le coup de bambou. La #7 au ralenti. Le replay est net. Un « quel con » s’échappe de ma bouche à la vue de ce qui vient de se produire à Mulsanne. Ca calcule ensuite à tout va. Le chrono en main. Un splash seulement pour la #7 ? Un full service pour la #8 ? Ce sera suffisant ? On connaît la fin. Une petite pointe de tristesse encore. Ca occulte largement les autres catégories. Alonso qui a la victoire « modeste » tandis que Buemi nous rappelle 2016. Respect. Ca ne m’empêche pas cette année d’envahir la piste. Pour suivre les cérémonies des podiums, notamment avec un bronze en P2. Et puis à nouveau le backstage des stands en passant à travers un stand. Quelques clichés, allant de l’exotique too much au traditionnel selfie. Et puis c’est fini. La course est passée. Retour Beauséjour pour le démontage final. Démarrage du « 2 litres » après avoir rebranché la batterie pour le passage dans la seconde chicane (photo), passage à Mulsanne (sans le rond point), Indianapolis (cliché), Arnage (cliché) et virage Porsche (cliché). Le « 2 litres » peut faire ce qu’il veut maintenant en redescendant de la montagne.

    Et si les circonstances de la Vie me le permettent, 2020 ne devrait pas pour moi aussi déroger à l’obsession de cette montagne.

    en réponse à : Vos 24 heures du Mans 2019 #276414
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    Beaucoup de pages à lire ce soir :wacko:
    Promis je poste aussi bientôt ;-)

    en réponse à : 24 HEURES DU MANS 2019 #274512
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    Hâte de les voir en vrai :heart:

    en réponse à : 24 HEURES DU MANS 2019 #274481
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    @JB : pour la livrée des Rebellion c’est ça ?
    ;-)

    en réponse à : 24 HEURES DU MANS 2019 #274079
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    en réponse à : RDV des forumeurs 2019 ! #274018
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    Okay je comprends mieux ;-)
    Je ne vais pouvoir amener que de la bière finalement…
    Partant une journée plus tôt cette année, je crains de ne pouvoir assurer correctement la chaîne du froid correctement…
    Je ne voudrais pas vous intoxiquer tous la veille de la Grand Mess avec un fromage qui aurait tourné ou un rollmops qui sentirait plus que de raison… Je serai pendu par les pieds sinon :scratch:
    A bientôt :yahoo:

    en réponse à : RDV des forumeurs 2019 ! #273891
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    Tiens ?!?
    Je suis pas sur la liste des “invités” ?
    Victime de la BOP avec mon super mini-vélo et ma bière du chhhhhhhhNooooorrrrddddd ?
    :wacko:

    en réponse à : Les 24 Heures vues par… #270238
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    ;-)

    en réponse à : Les chroniques de Fañch…. #270237
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    Great B-)
    En route pour un nouveau titre de “CHAMPION DU MONDE” :-)

    en réponse à : Les 24 Heures vues par… #269990
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    Bon courage Laurent.
    Je partage ta peine.
    Cette édition 2019 prendra effectivement une toute autre valeur.
    Tu ne percevras dorénavant plus le circuit, les allées, les gradins, les terres-pleins… de la même façon.
    Désormais, tout cet ensemble t’apparaîtra comme un véritable sanctuaire.
    Condoléances

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