Michel Vaillant
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DSC évoque aussi Brabham en hypercar.
Si ça se trouve, l’ACO sera obligé de refuser du monde en LMP1… ^^’
” Il faut aussi passer cette satanée barrière du “On regarde ce que font les autres et on décidera en fonction”. Sinon personne ne fera rien. ”
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En plus, ce genre de discours n’est pas très valorisant pour une entreprise d’excellence. Ça donne une image de suiveurs, et non de leaders
Il me semble avoir déjà lu par le passé que Glickenhauss se considérait comme un constructeur (d’envergure relativement modeste, certes)
Hormis eux, il ne s’agirait pas de Lambo ?https://www.auto-moto.com/actualite/sport/24h-du-mans/lamborghini-aux-24-heures-mans-217417.html
Je pense également qu’à l’heure actuelle, les constructeurs ou équipementiers peuvent très bien se passer de compétition pour développer leurs produits. L’essentiel se joue en laboratoire, sur les ordinateurs et sur les bancs d’essais avec tous les appareils de mesure nécessaires. Je ne dis pas que la compétition n’apporte strictement rien au développement, mais c’est certainement assez négligeable.
L’essentiel aujourd’hui, c’est la renommée qu’apporte une participation voire une victoire aux 24 Heures du Mans. En venant avec leurs hypercars, les constructeurs auront la possibilité d’entretenir une image d’excellence sportive, et ça, ça compte.
Quand on lâchait la bride à l’ingénierie, on se retrouvait avec deux constructeurs max, une course à l’armement et un effondrement lorsque les autres ne pouvaient plus suivre le dominant. Les défilés d’un seul constructeur, on va en manger trois éditions d’affilées, merci…
Pour le sport en tant que tel, c’est autre chose. Courir les 24H du Mans sera toujours un effort humain très intense, avec ou sans BOP !Ce qui rebute beaucoup de monde aux 24H c’est le prix des enceintes générales.
Surtout s’il faut ajouter tous les frais annexes pour ceux qui viennent de loin.
Le plateau quasiment inchangé entre 2018 et 2020, et une marque ultra favorite pour la victoire au général ont fait le reste. Souvenez vous, au début des années 2000, les chiffres de fréquentation tournaient autour de 220 000 spectateurs, et pourtant le contexte économique était meilleur.
L’an prochain, les chiffres devraient être moins bons encore, car les anglais se déporteront sûrement sur Le Mans Classic, trois semaines plus tard (ou alors ils resteront chez eux, en cas de crise avec le Brexit).La BOP c’est peut-être ce qui va sauver la catégorie et faire venir des constructeurs, en évitant le découragement des uns et des autres par l’ultra domination d’un seul, donc j’y suis plutôt favorable. En somme, c’est la solution à apporter pour retrouver à terme un plateau comme en 1999. A l’époque, il y avait du monde, il y avait de la diversité de formes, mais tout s’était effondré justement à cause des performances trop inégales.
Hier soir je suis repassé dans les environs du circuit.
Ça fait toujours un peu drôle de voir qu’il ne reste déjà pratiquement plus aucune trace de la frénésie qui régnait là une semaine auparavant. Les campings sont redevenus de simples prairies. Les grillages de protection sur les Hunaudières ont déjà été retirés. Il reste seulement les panneaux indiquant les lieux d’accréditation près du rond-point du Tertre Rouge.Pour Alpine, on sent bien qu’il y a de l’engouement parmi le public. C’est une marque populaire dans le coeur des français. Mais tout le monde est d’accord sur le fait que sa place est en LMP1, avec une voiture de sa conception.
Le naming de châssis Oreca date quand même depuis 2013, un projet un peu plus personnel serait le bienvenu !Est ce que le marketing, et même Jean Todt, en a quelque chose à faire des vrais fans ? Vous pensez qu’ils auraient eu l’égard de nous annoncer un V12 juste pour nous faire plaisir ?
Ce ne sera pas la même chose : il y aura BMW et quelques Ford en moins.
Je suis d’accord, le village s’est beaucoup amélioré ces deux dernières éditions, avec la “fan zone” (où il y a les transats et les bars à huitre), le comptoir 24 et le stand de galettes/saucisses, deux fois moins chères et bien meilleures que l’indigeste sandwich steak/frites.
Ça pourrait faire un sujet de chroniques pour EI pour l’an prochain… “vos éditions les moins bonnes”. J’ai un pote qui s’est fait plaquer à la veille de l’édition 2016, autant dire que c’était morose pour lui cette année là !
Pour ma part, je vais casser un peu l’enthousiasme général, c’est la première édition où je n’étais vraiment “pas dedans”. J’ai raté le départ (arrivé sur le circuit vers 18h seulement !), le samedi soir j’étais épuisé, mon pote aussi, en plus on n’avait rien prévu pour le froid. Je n’ai même pas pris mon appareil photo cette année. J’ai trouvé qu’il y avait vraiment moins de monde et moins d’ambiance. Des campings très sages, peu de belles voitures anglaises dans les rues (les anglais font le dos rond à cause du Brexit paraît-il, ils sont devenus plus réticents à voyager). Pour la première fois je n’ai pas eu le “blues” des 24H hier, c’est une édition que je ne vais pas vraiment retenir je pense.
Certains parmi vous ont déjà vécu des éditions “sans” ?La Toyota GR tourne déjà au Japon en essai… A moi elle me plaît bien, on va enfin revoir de beaux protos en LMP1
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