Michel Vaillant
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Evidemment pour le classement général il n’y avait pas beaucoup de suspens.
J’ai trouvé qu’il y avait moins de monde que les autres années. Surtout, beaucoup moins d’anglais et de belles voitures autour du circuit.On n’apprend rien de plus par rapport à la présentation de 2018, et si je comprends bien ce règlement n’est toujours pas la version définitive ?
La déco des Rebellion c’est pas dans mes goûts on va dire, mais la démarche est à saluer.
Et puis habiller des voitures aussi anguleux n’est pas évident. J’espère que les futurs protos auront des lignes plus gracieuses.En effet, les écuries semblent avoir compris l’intérêt d’avoir de belles livrées. Je pense que le déclic est venu de Porsche l’année dernière. Le “Cochon rose” avait connu un très beau succès populaire. Même ceux qui ne sont pas forcément fans des 24 heures ne parlaient que de cette Porsche !
Les 24 heures ne peuvent pas être une course de team.
Il y a un article aujourd’hui dans la presse locale qui indique que les hébergements ne font pas le plein à moins de deux semaines des 24H.
La popularité des 24H, et donc du WEC, dépend du nombre de constructeurs. Une catégorie reine composée d’Oreca privées rebadgées et de Ligier, c’est pas envisageable.D’ailleurs toujours aucune fuite sur les pistes envisagées pour 2021 ?
J’ai bien peur qu’on finisse par avoir une année de transition supplémentaire !Que dire de cette journée test caniculaire ?
J’ai trouvé qu’il y avait un peu moins de monde que d’habitude, pour une journée test (à cause de la chaleur peut-être). Simple impression, il faudra vérifier les chiffres…
Je rejoins une impression qui semble assez partagée : je n’attends pas cette édition avec la même frénésie que les autres années. Le plateau est quasi identique à l’an dernier, le suspens sportif est inexistant au classement général, et le manque de diversité, auditive notamment, est un peu déprimant. Les moteurs Porsche et Gibson sont sympas, mais ils monopolisent complètement le plateau !
Je me disais cet après-midi à Mulsanne que la dernière fois que j’étais au circuit, il faisait exactement le même temps, et c’était en juillet lors du Mans Classic. Et l’expérience sonore était toute autre, surtout lors des plateaux les plus récents, avec les Peugeot 905, 550 Maranello etc.
Le pire c’est que les choses ne vont pas s’améliorer à court terme, l’année prochaine il manquera Ford, BMW et Alonso, trois composantes de l’attractivité des 24 heures…Une Aurus GTE ce serait drôle à voir !
C’est sobre mais je pense qu’en vrai ça peut rendre bien. Dans l’ensemble j’ai tendance à préférer les décos inédites aux livrées “revival”, même si ça fait aussi plaisir de voir que Ford apporte un peu de nouveauté à ses voitures depuis 2016.
Comme chaque année à cette période, le circuit est en train de passer en configuration “piste”, avec la mise en place des rails de sécurité, des grillages le long des départementales, des pubs etc.
Il y a déjà des camions et des infrastructures dans le paddock (voir les articles d’EI à ce sujet), mais même les riverains n’y ont pas accès
Boîtier : Canon EOS 6D
Objectifs : Canon 40mm F2,8 STM ; Tamron 28-75 f2,8Il faudrait publier dans un livre tous ces recueils, c’est impressionnant toutes ces histoires personnelles et familiales qui gravitent autour des 24 heures depuis des générations !
Cette rubrique est une très bonne idée, le texte le plus poignant étant évidemment celui de Laurent Mercier
La position de l’ACO est délicate…
Il faut des constructeurs en catégorie reine, c’est indéniable. C’est une question d’image. Soyons réalistes, Le Mans ne suscitait pas autant d’intérêt entre 2000 et 2007, quand il n’y avait que Audi contre les privés (et, à l’occasion, Bentley).
Un championnat du monde a besoin de constructeurs, et Toyota contre Bykolles, c’est pas vendeur, sans mépris pour les privés.En revanche, tout miser sur les constructeurs est une erreur, car on l’a encore vu tout récemment avec BMW, ils n’ont aucun scrupule à partir sur un coup de tête.
Une solution pourrait être un DPI à l’européenne, avec des voitures moins coûteuses, reprenant un minimum les formes de la marque (comme les Mazda DPI), avec un encouragement pour composer des partenariats constructeur-privé.
Certes le DPI c’est pas ce qu’il y a de plus excitant, mais il va bien falloir sortir de l’impasse. Le WEC ne va pas tenir le coup si les années “de transition” s’enchaînent indéfiniment. -
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