Les Nissan et Michelin ont brillé aujourd’hui à Fuji, pour la cinquième manche du SUPER GT 2018.
L’Europe n’a pas le monopole de la canicule, celle-ci sévit également au Japon et elle a contraint les organisateurs à bouleverser l’horaire et à avancer le programme de une heure, afin d’avoir des conditions de piste plus agréables.
Essais libres
Les Nissan avaient déjà annoncé la couleur, avec les trois meilleurs chronos. La Nissan GT-R NISMO #23 de Ronnie Quintarelli/Tsugio Matsuda avait été la plus rapide en 1.29.420, devant la GT-R NDDP #3 de Satoshi Motoyama/Katsumasa Chiyo (1.29.513), ces deux Nissan étant en Michelin et précédant la Nissan Kondo Racing #24 de João Paulo De Oliveira/Mitsunori Takaboshi, en Yokohama (1.29.652).
La meilleure Lexus était la LC500 Tom’s #36 de Kazuki Nakajima/Yuki Sekiguchi (1.29.747), quatrième, et la meilleure Honda la NSX-GT Mugen #16 de Hideki Mutoh/Daisuke Nakajima (1.29.866), la Lexus étant en Bridgestone et la Honda en Yokohama.
Qualifications
Q1
Les Nissan ont poursuivi sur la lancée des libres, Tsugio Matsuda (GT-R #23) étant le plus rapide en 1.29.006, devant Chiyo (GT-R #3) en 1.29.076 et Kazuki Nakajima (Lexus Tom’s #36) en 1.29.132.
Les quatre Nissan GT-R passaient en Q2, ainsi que trois Lexus LC500 (Tom’s 36 et #1 et Wedsport Bandoh #19) et une seule Honda NSX-GT, la Honda ARTA #8.
Q2
Grand chelem pour la Nissan NISMO #23, après les libres, la Q1 et maintenant la Q2, avec la pole position pour Ronnie Quintarelli, quadruple champion GT500, en 1.28.461, qui a devancé Mitsunori Takaboshi (Nissan Kondo Racing #24) qui était en 1.28.493.
Yuhi Sekiguchi (Lexus Tom’s #36), en Bridgestone, crédité d’un chrono de 1.28.749, devançant lui-même le vétéran Satoshi Motoyama (Nissan NDDP #3), en 1.28.872.
Takuya Izawa et la Honda #8 étaient huitièmes en 1.29.563
Les chronos sont ici