- Ils sont encore 7 pilotes à pouvoir rafler la couronne 2019. Maxi Buhk, Dennis Olsen, Matt Campbell, Maxi Götz, Dirk Werner, Fred Vervisch et Christopher Haase. On a donc trois pilotes Porsche, deux Mercedes et deux Audi.
- Laurens Vanthoor, Markus Winkelhock et Tristan Vautier ont été les trois premiers champions IGTC. Les trois sont en piste ce week-end aux 9 Heures de Kyalami mais aucun ne peut être titré. Audi compte trois couronnes Constructeurs.
- Une seule Ferrari 458 Italia GT3 est au départ de l’épreuve avec celle de Pablo Clark Racing pour Michael Stephen, Leonard Charles Thompson et Kishoor Pitamber. La maintenance de la Ferrari est assurée par l’écurie suisse Kessel Racing.
- On compte pas moins de 16 pilotes originaires d’Afrique du Sud aux 9 Heures de Kyalami. On pourrait aussi rajouter Maxime Soulet qui a passé une partie de son enfance dans le pays.
- Les équipes ont joué le jeu de l’Afrique du Sud avec des livrées spécifiques qui mettent en avant les couleurs du pays. En plus des livrées zébrées des Audi Land et WRT, on peut citer la Lamborghini Huracan GT3/Stradale Motorsport, les Porsche 911 GT3-R Lechner Racing et KÜS Team 75 Bernhard et la Mercedes-AMG GT3/SPS automotive-performance #10.
- La manche WEC de Sao Paulo étant incertaine, le championnat cherche une autre destination entre Bahrain et Sebring. Le tracé de Kyalami pourrait être une option. Gérard Neveu, directeur général du WEC, sera d’ailleurs présent ce week-end à Kyalami pour assister à la course badgée SRO Motorsports Group. Kyalami figure sur le questionnaire envoyé aux équipes il y a quelques semaines en vue de l’organisation d’un meeting dans le futur.
- Par rapport à la liste des engagés initiale, il manque la Mercedes-AMG GT3/SunEnergy1 et la seconde Ferrari/Rinaldi Racing.
- Si une parade a été à l’étude, l’idée a finalement été abandonnée. En revanche, l’objectif est clairement d’organiser une parade sur chaque événement en 2020.
- Plusieurs pilotes profitent de la finale IGTC de Kyalami pour découvrir le pays. C’est le cas de Jules Gounon qui a fait chauffer le club de golf.