Deuxième partie de l'entretien consacré à la carrière de Jean-Philippe Belloc...
Les résultats viennent ?
« Je roule à Pau en F3000 et je fais 5e. Je suis dans les temps et il y a un mois et demi avant la course suivante de Vallelunga. Durant cette période, je cherche du budget tous les jours. Je n’en trouve pas, j’arrive à Vallelunga le moral dans les chaussettes. Normalement, un sportif a tous les voyants au vert alors que les miens sont tous au rouge. Le produit que je vends, c’est moi et personne ne veut te l’acheter. Au fil du temps, tu finis par penser que le produit n’est pas bon. Les autres pilotes n’étaient pas sur la même dynamique. A la fin de ma première année, Elf me prévient qu’ils arrêtent tout sponsoring et donc plus de F1. J’arrive chez DAMS avec un ...
Pour profiter de la suite de cet article...