Jean-Philippe Belloc, aussi rapide que discret (part 3)

Suite de l'entretien consacré à Jean-Philippe Belloc...

Après Le Mans, vous vous dites quoi ? 

« Je comprends que mon futur ne peut passer que par les courses d’endurance. En 1998, j’amène un budget pour rouler au Mans chez Courage. Didier Cottaz était mon premier coéquipier en Formule Renault. Il jouait le championnat et il me dit que ce serait bien que je fasse top 10. La première course, je suis devant lui. Je suis P3 sur la grille et lui P5. Nos rapports ont changé dans le plus profond respect. Didier est un malade du travail et quand tu as un coéquipier comme cela, c’est très important. Bref, pour en revenir au Mans, Didier dit à Yves Courage qu’il faut me récupérer. Je me retrouve en 1988 avec Didier et Marc Goossens au Mans et, là, je vois Le Mans autrement. O...

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