Jean-Philippe Belloc, aussi rapide que discret (part 4)

Quatrième et dernière partie de l'entretien consacré à Jean-Philippe Belloc...

Et la Ferrari 575 ? 

« C’était une catastrophe, mais j’ai adoré l’expérience avec les Italiens. La pire voiture que j’ai connue. Pourtant, jamais je n’ai vu autant d’argent dépensé pour faire des tests. C’était fou et jamais je n’ai vu autant de politique dans une équipe. J’ai halluciné. Je pense que c’est pour ça qu’ils ne voulaient pas un pilote italien, ça aurait été un élément de trop. Il n’y avait pas de raison que je sois là. » 

D’autres regrets que de ne pas avoir roulé à Suzuka et Bathurst ? 

« Si je fais le bilan, il y a pas mal de choses que j’aurais pu faire différemment mais quand je les ai faites, j’ai pensé que c’était la meilleure solution....

Pour profiter de la suite de cet article...