– Le nom de James Rossiter figure toujours sur les flancs de l’ENSO CLM P1/01 du ByKolles Racing, mais il se murmure de plus en plus que le pilote Lexus ne prendra pas part à ses troisièmes 24 Heures du Mans, justement à cause d’un test avec Lexus au Japon. L’écurie autrichienne a testé Marco Bonanomi la semaine passée à Spa. L’Italien pourrait donc épauler Dominik Kraihamer et Oliver Webb au volant de l’unique LM P1 non hybride.
– Les titulaires d’un billet ‘enceinte générale’ pourront accéder gratuitement au Musée des 24 Heures du Mans ainsi qu’à l’exposition temporaire sur la Formule 1.
– Il faudra surveiller les boutiques sur le circuit car un livre sur Henri Pescarolo écrit par Jean-Marc Teissedre sera disponible dans quelques jours aux éditions ETAI. Pour avoir eu la chance d’en feuilleter une partie, on peut vous dire que l’ouvrage devra obligatoirement rejoindre votre bibliothèque. Préfacé par Pierre Fillon, le livre comprend 272 pages avec beaucoup de photos inédites, sans compter les nombreuses anecdotes.
– Plusieurs équipes rouleront ce mardi sur le circuit Bugatti afin de parfaire leur préparation aux 24 Heures du Mans. Ce sera le moment de roder les pièces qui serviront pour la course.
– Pour celles et ceux qui auront un peu de temps avant le début de la grande semaine mancelle, le plateau du Group C Racing sera à Dijon (9/11 juin) pour le Grand Prix de l’Âge d’Or.
– Chez Signatech Alpine Matmut, seul Angel Negrao devra s’acquitter de ses dix tours réglementaires. Philippe Sinault, team principal Signatech Alpine Matmut, dresse les objectifs de la Journée Test : « Nous sommes maintenant installés dans la Sarthe pour une vingtaine de jours ! Les membres de l’équipe évoluent dans un environnement particulier, qui rappelle à chaque instant l’importance de l’enjeu. Chacun doit veiller à gérer son énergie et à se ménager des plages de relaxation pour aborder la course à 100%. La journée de dimanche constitue un premier jalon important. Les pilotes connaissent bien le tracé grâce au travail effectué en amont sur notre simulateur ellip6, mais nous veillerons à optimiser le temps passé par chacun au volant. Après les deux premières courses de la saison, nous avons tiré des enseignements sur nos points forts et les axes sur lesquels nous devons progresser. Nous savons que nous sommes performants sur un tour, en qualifications comme en course. Il faut cependant que nous appréhendions encore mieux l’exploitation des pneumatiques. Au Mans, les contraintes sont énormes et nous devrons gérer le quota restreint par rapport à 2016. Nous porterons l’essentiel de nos efforts sur cet aspect, pour trouver le meilleur compromis entre performance, endurance et sécurité. »
Les photos de l’après-midi sont ici