Ça y est, enfin, nous y sommes après une pause de trois mois, l’essence et l’air se retrouvent pour exploser de joie, les moteurs chantent, les pneus crissent, les mécanos exultent, les pilotes jouissent, les spectateurs hélas, devront encore patienter je ne sais combien de temps. C’est terrible et tragique, mais c’est le prix à payer pour pouvoir rouler, alors cette chronique est pour vous, chers passionnés, plus que jamais.
Je ne vais pas revenir pas sur la crise engendrée par le coronavirus, je ne suis pas médecin, mais vous vous doutez bien que j’ai un avis bien tranché sur la question. La crise économique est à l’instar de la crise sanitaire, bien violente et sans précédent, j’ai vu la matière première que je produis passer brièvement en prix négatif. Hallucinant ! En ce qui me co...
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