0 le nombre de spectateurs lors de cette édition vraiment spéciale se déroulant à huis clos.
0 aussi pour le nombre de gouttes de pluie tombées sur le circuit. Une bonne nouvelle surtout d’après des prévisions météo qui étaient moins optimistes…
2e victoire de Brendon Hartley après celle décrochée en 2017 avec Porsche.
3e victoire de Toyota au classement général en 22 participations. Le constructeur du soleil levant rejoint Matra-Simca (1972, 1973, 1974) et Peugeot (1992, 1993, 2009).
3e victoire également des deux pilotes de la Toyota TS 050 Hybrid #8 : Sébastien Buemi (qui rejoint Marcel Fässler son compatriote) et Kazuki Nakajima. Ils rejoignent Woolf Barnato, Luigi Chinetti, Dindo Capello, Hurely Haywood, Marco Werner, Phil Hill, Al Holbert, Klaus Ludwig, André Lotterer, Allan McNish et Benoît Tréluyer.
3e, la place sur la grille de départ de la voiture victorieuse. Seulement deux autos ont gagné en partant de la 3e position : en 1979 et 2015.
3e pole position aux 24 Heures du Mans pour Kamui Kobayashi (Toyota TS050 Hybrid #7) après celle décrochée en 2017 et 2019.
3:15.267 : le temps de Kobayashi (Toyota #7) lors de l’Hyperpole, le nouveau système de qualifications de l’ACO.
3:19.284 : le meilleur temps en course signé par le Brésilien Bruno Senna (Rebellion R13 #1).
4e victoire d’une marque japonaise aux 24 Heures du Mans après Mazda en 1991 et Toyota, déjà en 2018 et 2019.
Toyota est la 5e marque à signer un triplé consécutif aux 24 Heures du Mans après Jaguar (1955, 1956, 1957), Audi (2000, 2001, 2002), Matra (1972, 1973, 1974), Porsche (1996, 1997 avec Joest, 1998 puis une autre série en 2015, 2016, 2017). Ne sont pas pris en compte les marques qui ont gagné quatre ou cinq fois de suite, juste celles qui ont signé un triplé…
5e victoire pour un pilote japonais après Masanori Sekiya (McLaren en 1995), Seiji Ara (Audi en 2004) et Kazuki Nakajima en 2018, 2019, 2020.
6e pole position pour Toyota après 1999, 2014 et 2017, 2018, 2019.
8 : le numéro de la voiture victorieuse. C’est la 7e fois de l’histoire que le 8 sort gagnant après Bentley (1924), Alfa Romeo (1932), Audi (2000, 2006) et déjà Toyota (2018, 2019).
10 : le nombre d’abandons officiels en course. 43 autos ont franchi la ligne d’arrivée car il y a aussi eu 5 autos non classées et une disqualification !
22 : le numéro de l’ORECA 07 United Autosports, aussi meilleure représentante ELMS, qui remporte la catégorie LMP2 avec Phil Hanson, Felipe Albuquerque et Paul Di Resta.
23 : nombre de victoires consécutives au classement général pour Michelin, la série ayant débuté avec la victoire de la Porsche 911 GT1 en 1998. Le manufacturier clermontois compte 29 sacres au total.
24 : il s’agissait de la 24e participation de Manu Collard aux 24 Heures du Mans. Il s’offre un nouveau podium. Il rejoint Jan Lammers au nombre d’éditions.
59 : nombre de concurrents au départ des 24 Heures du Mans !
90 : numéro de l’Aston Martin GTE #90 de TF Sport victorieuse en LMGTE Am. Elle est pilotée par Jonny Adam qui signe un 2e succès en Sarthe, Solih Yoluc et Charles Eastwood.
97 : le numéro de l’Aston Martin Vantage GTE qui l’emporte en GTE Pro avec Maxime Martin, Alex Lynn, Harry Tincknell. Il s’agit de la 2e victoire du dernier nommé après celle décrochée en LMP2.
349 km/h : la vitesse de pointe signée par Louis Deletraz sur la Rebellion R13 #3 lors de l’Hyperpole. En course, c’est Bruno Senna sur l’autre Rebellion qui a été le plus vite en 347.8 km/h.
387 : le nombre de tours bouclés soit un de moins qu’en 2018, mais deux de plus que l’an dernier. La Toyota #8 a parcouru 5272,46 km.
A l’année prochaine, les 12 et 13 juin 2021 pour la 89e édition des 24 Heures du Mans !