Communiqué de Presse : Nouveau week-end de couse pour IDEC SPORT, qui se rend sur le mythique tracé de Spa-Francorchamps (Belgique) dans le cadre des 24 heures Series. L’équipe participera à une épreuve de 12 heures, répartie sur deux jours. Patrice Lafargue, Paul Lafargue et Dimitri Enjalbert se partageront le volant de la Mercedes AMG GT3.
Pas de pause pour l’équipe IDEC SPORT, à peine rentrée de la première manche de l’European Le Mans Series (ELMS), elle doit d’ores et déjà se préparer pour le deuxième meeting des 24 heures Series 2019. Les LMP2 sont déchargées, les camions vidés puis chargés à nouveau et c’est reparti, direction la Belgique pour les 12 heures de Spa Francorchamps. C’est la Mercedes AMG GT3 qui fait le déplacement. Inscrite dans la catégorie A6-Pro (catégorie reine), elle sera pilotée par Patrice Lafargue, Paul Lafargue et Dimitri Enjalbert.
Ce dernier s’est récemment imprégné du magnifique toboggan des ardennes: « J’étais à Spa la semaine dernière, en passager d’une GT3 RS. Il y a des modifications très légères qui étaient intéressantes à voir, comme un changement de vibreur ou autre. »
« Nous sommes frustrés du Mugello (problème d’embrayage) car on était performants donc on veut confirmer ce week-end. Spa, c’est un peu chez nous. C’est la porte à côté et il y a donc moins de fatigue, ce qui est positif sur l’ensemble du week-end, » explique un Dimitri Enjalbert motivé. « On veut une course où on peut se battre avec les leaders et ressortir fatigués pour quelque chose! Ça serait génial d’offrir un podium à toute l’équipe. »
Rouler sur les sept kilomètres de ce circuit qui accueille régulièrement la F1 ou le WEC et où les plus grands ont gagné est toujours un moment fantastique pour les pilotes comme le confirme Dimitri : « C’est un des plus beaux circuits du monde, où l’on va rouler avec une magnifique voiture de course. C’est excitant. On sait qu’on a beaucoup d’appuis. Je suis impatient de voir comment on passe le raidillon avec la Mercedes. »
L’intense trafic des 24 heures Series sera plus facile à gérer qu’au Mugello en raison de sa longueur, mais attention à ne pas se faire piéger dans certaines sections : « Il faut rester très concentré ! Si nous rattrapons une voiture plus lente à l’entrée du raidillon, c’est dur à gérer. Peut-être vaut-il mieux lâcher avant plutôt que d’être ralentis lors de la relance.»