GTA, Promoteur du SUPER GT, a apporté quelques modifications à la réglementation sportive 2018.
Handicaps – GT500 uniquement
Le lest imposé aux concurrents en fonction des résultats précédents est limité à 50 kg, pour ne pas trop alourdir les voitures dans un souci de sécurité.
En revanche, la vitesse du débit de ravitaillement en carburant est modifiée, le débit diminuant selon l’importance du handicap poids.
A titre d’exemple, le débit pour une voiture pour une GT ayant un handicap poids théorique compris entre 51 et 67 kg était de 89.8 kg/h en 2017, il ne sera plus que de 88,6 kg/h en 2018 ; pour une auto ayant un handicap de poids théorique au-delà de 85 kg, les valeurs passent de 87,4 kg/h à 85,5 kg/h.
Essais
Le système du « knock-out » avec deux phases d’essais, Q1 et Q2, est conservé. Cependant, en raison du grand nombre d’engagés en GT300 -29-, pour ne pas avoir trop d’autos en piste simultanément pendant ces courtes séances, il sera possible sur certains meetings de répartir les GT300 en deux groupes, A (numéros de course impairs) et B (numéros pairs), pour la Q1, les sept meilleurs chronos de chaque groupe étant admis en Q2.
La durée de la Q1 est de 10 minutes pour les GT500 comme pour les GT300 (qui auront 10 minutes par groupe).
La durée de la Q2, déterminante pour la grille de départ définitive, sera de 10 minutes en 2018 alors qu’elle était de 12 minutes en 2017 .
Procédure de départ
Elles est durcie en 2018 : les voitures doivent se regrouper durant la seconde moitié du tour de formation derrière le poleman, sur deux files, à une vitesse de 80/90 km/h, avec interdiction d’accélérer ou de freiner. En conséquence, les pilotes n’auront plus la possibilité de chauffer leurs gommes durant cette dernière partie du tour de formation.
Le signal du départ (feu vert, drapeau…) sera donné pour les GT500 et un autre pour les GT300 tandis qu’il y avait un seul signal, commun aux deux catégories en 2017. Les voitures doivent conserver leur ligne tant que le signal n’est pas donné.
