Un an avant l’arrivée du Championnat du Monde d’Endurance de la FIA, l’Intercontinental Le Mans Cup battait son plein avec sept épreuves au menu : 56 autos à Sebring, 55 à Spa, 56 au Mans, 49 à Imola, 49 à Silverstone, 56 au Petit Le Mans et 29 à Zhuhai.
La manche chinoise marquait le 7e et dernier rendez-vous de l’ILMC avec 9 LM P1, 2 LM P2, 7 GTE-Pro, 6 GTE-Am, 1 FLM et 4 GTC.
Deux OAK-Pescarolo LMP1 partaient en chasse des Peugeot 908 (Davidson/Bourdais, Sarrazin/Montagny) et Audi R18 TDI (Bernhard/Fässler, Kristensen/McNish) avec d’un côté Guillaume Moreau, Pierre Ragues et Matthieu Lahaye, de l’autre Olivier Pla, Jacques Nicolet et Alex Prémat. Andy Meyrick, Stefan Mücke et Harold Primat se partageaient le volant d’une Lola Aston Martin. Chez Rebellion Racing, la Lola B12/80 était confiée à Nico Prost et Neel Jani. Seules deux LM P2 étaient en piste avec Signatech-Nissan (Mailleux/Ordonez/Vernay) et OAK Racing (Lafargue/Da Rocha).
AF Corse (Fisichella/Bruni), BMW Motorsport (Farfus/Müller, Alzen/Priaulx), Luxury Racing (Makowiecki/Ortelli, Beltoise/Farnbacher/Firman) et Lotus Jetalliance représentaient la catégorie GTE-Pro. Fidèle parmi les fidèles, Larbre Compétition alignait une Corvette C6.R en GTE-Am pour Patrick Bornhauser, Julien Canal et Olivier Beretta.
Mika Hakkinen faisait ses débuts dans la série sur une Mercedes SLS AMG GT3 du Team AMG China dans la catégorie GTC face à trois Audi R8 LMS.
En 2011, les LM P1 roulaient face aux LM P2, GTE-Pro, GTE-Am, GT3 et FLM.
Peugeot Sport Total s’était assuré le doublé en terre chinoise, la victoire revenant à Sébastien Bourdais et Anthony Davidson. Signatech-Nissan raflait la mise en LM P2, BMW Motorsport en GTE-Pro et Proton Competition en GTE-Am.