Si tout le monde espère une plate-forme prototype mondiale, celle-ci n’est toujours pas actée. Scott Atherton, président de l’IMSA, reste confiant sur le fait qu’une solution puisse être trouvée.
« Je l’ai dit et je le répète », a confié Scott Atherton à Sportscar365. « C’est peut-être le fait d’être un optimiste naïf, mais jusqu’à ce que je sois convaincu qu’il n’y ait pas une autre option, je dirais que oui, il y a des raisons d’espérer. Mais ce n’est pas une nouvelle déclaration de ma part. Je considère la volatilité de leurs réglementations et l’instabilité qui va avec comme une opportunité. Simon (Hodgson) et son équipe sont engagés dans le processus (DPi 2.0) dont nous sommes extrêmement fiers. C’était quelque chose de stable et prévisible. Le processus présenté, de même que le protocole, reflète très bien comment cette organisation fonctionne depuis maintenant plusieurs années. »
L’IMSA ne veut pas perdre de temps avec une introduction du nouveau DPi dès 2022 : « L’opinion générale des constructeurs est que le calendrier bien structuré doit déboucher sur une réglementation très appropriée. Tout cela a été établi en fonction de notre objectif, qui est d’introduire la voiture en 2022. En ce qui concerne l’aspect politique, il faut que les discussions se déroulent de manière autonome. Si quelque chose doit changer, je suppose que ces choses évoluent. Mais de notre côté, nous sommes vraiment sur la bonne voie, il existe un calendrier soutenu par tous nos partenaires ici en IMSA. »